Dictionnaire des Horlogers

De Identitas à Lyanna
IDENTITAS
Marque genevoise enregistrée.

IDY Georges
Apprenti horloger chez Denis Dominicé de 1678 à 1679 à Genève.

IGON WALT FRERES
Horlogers genevois. Seconde moitié du XIXe siècle. Montres fantaisie. Signature trouvée sur une montre en forme de fraise.

IKA
Marque genevoise enregistrée.

IMBERT Louis
Né en 1765. Graveur genevois. Décore des boîtes de montres.

IMHOF M.
Orfèvre. Mentionné à Genève en 1924.

INBODEN A.-E.
Emailleur. Mentionné à Genève en 1870.

INDUS
Marque genevoise enregistrée.

INGOLD Michael
Père de Michel, horloger. Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité depuis 1769. Occupe 3 à 5 ouvriers et forme des apprentis : Jean Rorène et Samuel Sching. Sa femme est mentionnée veuve dès 1799.

INGOLD Pierre-Frédéric
Cet horloger de talent, bien que d'origine bernoise (Loberswild), est né le 6 juillet 1787 à BiennenOrphelin à l'âge de trois ans, Pierre-Frédéric Ingold partit avec sa mère et s'établit à Valanvron, entre La Chaux-de-Fonds et La Ferrière. Il se rendit à Strasbourg en 1809. Deux ans après, il se trouvait à Paris. On était alors en pleine guerre et, afin d'échapper à la conscription, il se décida à partir pour l'Amérique. Mais le bateau qui l'emmenait fut saisi par les Anglais qui le firent prisonnier. Relâché après plusieurs mois, il revint chez son ancien patron à Paris où il reprit la place qu'il avait quittée. Après une année de séjour dans la capitale, il rentra à La Chaux-de-Fonds où il s'essaya à différentes améliorations dans la fabrication des montres. Mais il avait toujours le désir de se perfectionner davantage et, dans ce but, il partit pour Londres, où il put entrer dans les meilleures fabriques de montres, alors fort réputées. C'est là qu'il fit une pièce d'un petit calibre qui fut en possession de l'impératrice Marie-Louise. Il fit la connaissance d'Abraham-Louis Breguet et il travailla pendant cinq ou six ans chez lui. Il se renseigna sur les méthodes de travail du génial horloger. C'est vers cette époque (1823) qu'il se maria avec Gabrielle Rue, d'origine française. Pour le compte de Breguet, il fit de longs voyages, en particulier à Constantinople. Revenu au pays, il se voua un temps à la fabrication des pierres fines pour montres où il acquit une réelle habileté, grâce encore à Breguet. Pierre-Frédéric Ingold nourrissait de nombreux projets qui germaient sans cesse dans son esprit. En 1825, il s'établit à Genève, et l'idée lui étant venue que la fabrication des montres à la main était trop coûteuse, il se dit qu'il devait être possible d'utiliser des machines dans ce but. Quelques années plus tard, il fit la connaissance de Louis Berthoud et de Japy de Beaucourt avec lesquels il projeta de construire une fabrique à Paris. Mais l'affaire ne se réalisa pas. Ce n'est que plus tard qu'il réussit à créer la « Compagnie d'horlogerie parisienne » à laquelle s'intéressèrent de hautes personnalités de la ville. Le siège de la société était au Palais-Royal, chez Ingold lui-même. Mais l'affaire finit mal car, trois ans plus tard, elle était en liquidation... Les gros personnages avec lesquels il avait travaillé ne lui en gardèrent pas rancune, puisqu'ils signèrent une attestation reconnaissant qu'Ingold était un parfait honnête homme et un horloger accompli. En 1842, nous retrouvons l'infatigable artisan à Londres où il a transporté une partie de ses machines et fondé une nouvelle société, au capital de six millions et quart de francs. Appuyé par des personnes influentes, Ingold reçut le titre de superintendant de l'entreprise. Il désirait avant tout fabriquer des montres bon marché et il eut de nombreuses agences en Angleterre, dans le reste de l'Europe et même en Afrique. Mais, une fois de plus... Ingold avait vu les choses trop en grand et, en 1844, c'était la ruine de l'usine ! Le pauvre superintendant éprouva de fortes pertes et il retourna à Paris. Cependant, ces insuccès répétés ne le découragèrent pas et, à l'âge de 58 ans, il partit pour l'Amérique ayant toujours l'espoir de réussir une fois. Hélas ! il ne dut pas s'y enrichir ! Toutefois, la mort de son épouse le ramena à Paris vers 1857, puis à La Chaux De Fonds, en 1858. Il venait d'inventer une " machine (fraise) propre à retoucher les roues d'Engrenages, à former l'épicycloïde et leur donner la forme voulue " pour laquelle il prit un brevet. Cette machine n'est plus en usage, mais elle a rendu de grands services aux horlogers ; une particularité, c'est qu'on a formé le mot « ingolder » qui, du moins, rappelle le souvenir de cet homme ingénieux. Devenu vieux, sans fortune comme la plupart des inventeurs, il fut recueilli par Emilie Strub à laquelle il avait l'horlogerie et qui devint son épouse

INTERWATCH CO GENEVE
Montres en tous genres, montres Art Déco. Exporte principalement aux Etats-Unis. On trouve trace de cette manufacture dans les années 1930.

IONO
Marque genevoise enregistrée.

ISIS
Marque genevoise enregistrée.

ISOIR Alexandre
Fils d'Alexandre. Originaire du Dauphiné (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1747.

J'OFFRE L'HEURE DE LA VICTOIRE
Marque genevoise enregistrée

J. T. C.
(Genève). Signature trouvée sur une pendulette de voyage en argent et émail, à grande sonnerie, répétition minutes et réveil. Vers 1900.

JACCARD
Horloger repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

JACCARD & Cie.
Horloger. Genève. Mentionné à Genève en Vers 1852. Montres compliquées de très bonne qualité. Vers 1870-1880.

JACCARD (Y) E.V. Cie.
Genève. Deuxième moitié du XIXe début du XXe siècle. Prédécesseurs de Perusset & Ditisheim. Manufacture de montres compliquées et chronomètres. Travaille pour le marché latino-américain.

JACCARD A.
Fameux horloger régleur, travaille pour Omega Genève, Louis Brandt et Frères à Bienne (Suisse). Directeur de Omega Genève, obtient, en 1931, dans la série B, le premier prix au concours de l'Observatoire de Genève, ex aequo avec les maisons Patek Philippe et Vacheron-Constantin. Six premiers prix en 1932 pour des chronomètres de Bord et huit premiers prix pour des chronomètres de petit format. Reçoit en 1948 le premier prix du concours de chronométrie de Neuchâtel (Suisse) pour la meilleure compensation thermique. Présente un chronomètre à ancre tourbillon bracelet de 30 mm de diamètre et six chronomètres, échappement à ancre avec balancier Guillaume, spiral acier Breguet, tous obtenant le premier prix.

JACCARD DU GROS GENEVE
Marque genevoise enregistrée.

JACCARD E.H. & Cie.
Maison fondée en 1850 à Genève. Montres simples et compliquées, chronomètres de poche avec bulletins de l'Observatoire de Genève. Spécialisé en montres à double échappement et à tourbillon, montres astronomiques.

JACCARD GENEVE
Marque genevoise enregistrée

JACCARD Hélène
Fameuse régleuse genevoise. Reçoit le 2e prix au Concours de réglage des chronomètres, en 1932, pour Vacheron-Constantin.

JACCARD Horace
Horloger genevois. Fin du XIXe siècle.

JACCARD L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JACCARD P.R.
Genève, chronomètre à impulsion. Réalise en 1940, après 12 ans de recherches, un mécanisme moteur à force constante. Présente en 1941 un échappement rotatif, avec impulsion par le spiral. Ce système met en évidence: 1. Le balancier, absolument libéré de tout contact, peut décrire des oscillations de très grande amplitude pouvant s'étendre à un tour et davantage. 2. Les défauts inhérents aux autres échappements, galop, rebattements, renversement, sont éliminés. 3. Le fonctionnement de cet échappement n'exige pas une mise au point très méticuleuse; très robuste, il opère l'arrêt sûrement. 4. Le déplacement constant de tout le système annule en principe les écarts de marche dans les différentes positions verticales.

JACCARD Veuve
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

JACCARD-ALLÉOUD
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862.

JACCON Jaques
Maître orfèvre. Forme Balthazar Reclan en 1680 et Jean-Pierre Joly en 1681 et 1682.

JACOB (JACQUES)
Horloger et serrurier à Neuchâtel. Cité en 1582 et 1583.

JACOB H. Fils
Orfèvre, mentionné à Genève en 1924.

JACOBY et Cie.
Fabricants horlogers. Présentent à l'Exposition universelle de Chicago en 1893, des montres compliquées et des montres de précision. Mentionné à Genève en 1907.

JACOPIN Arnold
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JACOPIN Daniel-Louis
Né en 1764, fils de Daniel Maître horloger pendulier et marchand horloger à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1800 à 1825. Reçoit des cabinets de Ch.-Fr. Dubois et voyage en Allemagne. Plusieurs pendules signées.

JACOPIN Justin
Né en 1792. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité en 1825.

JACOT
LE CAPITAINE

JACOT & BOVY
Seconde moitié du XIXe siècle. Horlogers brevetés. Construisent et obtiennent un brevet pour une montre à huit jours de réserve de marche avec un système de remontage à clé à ressort visible.

JACOT Abram
Fils de Jonas. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1727 à 1750.

JACOT Ami
Horloger. Mentionné à Genève en 1862.

JACOT Bernard
Né en 1877-1903, Fils d'Ulysse. Ciseleur et décorateur au Locle. Exécuta 7 reproductions du cabinet avec bronzes ciselés de la pendule dite "le Berger" à Madrid de Pierre Jaquet-Droz.

JACOT Charles Frédéric
Fils de Daniel Ébéniste et ciseleur à La Chaux-de-Fonds. S'associe en 1772 avec ses frères Daniel et Charles-Daniel Travaille en 1781 pour J. Robert et fils une boîte de pendule " avec soubassement, plaquée en écaille naturelle, ornements à laurier".

JACOT Charles-Daniel
Fils de Daniel. Ébéniste et ciseleur, fabricant de cabinets de pendules artistiques à La Chaux-de-Fonds. S'associe en 1772 avec ses frères Daniel et Charles-Frédéric. Cité en 1784 comme « metteur en couleurs »

JACOT Charles-Henri
Pendulier en 1790 à la Brévine.

JACOT Daniel
Fils de Daniel. Ébéniste, ciseleur et fabricant de cabinets de pendules artistiques à La Chaux-de-Fonds. Cité comme élève puis associé de Jonas-Pierre Courvoisier. Depuis 1772 associé de ses frères Ch.-Frédéric, Ch.-Daniel (et de ses soeurs Julianne et Lydie). Livre en 1781 à J. Robert et fils "une boîte de pendule ornée en fonte et plaquée en marqueterie " et en 1783 des cupidons ciselés et d'autres boîtes avec ornements. Avait comme ouvriers Jean Humbert et Louis Simon.

JACOT David-François
Pendulier à la Brévine. Envoie en 1810 des mouvements de pièces d'officier à Courvoisier et fils à La Chaux-de-Fonds.

JACOT Félix
Ébéniste et faiseur de cabinets en 1807 au Verger du Locle.

JACOT Félix-119
Ébéniste et ciseleur, fabricant de cabinets artistiques à La Chaux-de-Fonds. à comme ouvrier en 1765 Pierre-Guillaume Vialet. Parisien. Travaille de 1789 à 1791 des ornements de pendules pour J. Robert et fils et Cie. et livre des travaux « d'écaille et de mosaïque ».

JACOT FRÈRES
Fabricants. Le Locle (Suisse) et Genève. Mouvements, boîtes, cuvettes et cadrans de montres. Marques en 1886 "Cocotte Patent" en 1888 « Tunnel » en 1889, « Terrasse Locle-Genève », « Tobias » en 1889, "Monnard Genève" en 1889. Par la suite la raison sociale devient Gustave Jacot, Locle.

JACOT Guillaume
Père d'Henri-Louis. Maître pendulier à Fontaines. Cité de 1791 à 1826. Achète de nombreux cabinets à Ch.-Fr. Dubois. Plusieurs jolies pendules signées.

JACOT Henri-Louis
fils de Guillaume, pendulier à Fontaines. Travaille en 1819 avec son père.

JACOT Jean-Henri
Fils de Moïse. Valangin, canton de Neuchâtel (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1773.

JACOT Jonas-François
Fabricant de ressorts de pendules à la Chaux-de-Fonds. Cité depuis 1763.

JACOT Samuel
Fils de Pierre. Le Locle, comté de Neuchâtel (Suisse). Emailleur et peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1762.

JACOT Zélim
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857.

JACOT-DESCOMBES
A. Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1866.

JACOT-GUILLARMOD Frères
Graveurs-ciseleurs. Mentionné à Genève en Vers 1909.

JACOT-LUTZ
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

JACOTTET Jean-François
Fils de Jean-Pierre. Echallens, canton de Vaud (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1757.

JACQUEMET Jacques Nicolas
Horloger genevois. 1775-1800.

JAEGER-LECOULTRE
Le Sentier et Genève. Manufacture anciennement Antoine Le Coultre, qu'il fonde en 1833. Devient Jaeger-LeCoultre dès 1930. Horloger très habile, auteur des plus célèbres innovations dont: la machine à tailler les pignons dans l'acier plein, fabrication qui lui permet la mesure métrique. Réalise en 1844 le "Millionomètre", instrument de haute précision pour mesurer avec exactitude le 1000e de millimètre. Produit le premier remontoir à bascule sous le cadran, en 1846. Fabrique des répétitions faites mécaniquement en 1870. Fait la plus petite montre du monde, construit des ébauches pour des tiers qui exportent en Angleterre, en France et en Allemagne. Médaille d'or à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Membre du jury à Paris en 1900. Obtient 5 prix au concours de chronométrie de Neuchâtel, en 1948. Présente 4 tourbillons à ancre et un chronomètre à ancre muni d'un balancier Guillaume, spiral acier coudé, tous reçoivent le premier prix. Régleur A. Jeanneret, Le Locle (Suisse).

JAILLET Gabriel
Apprenti orfèvre chez Nicolas Mutin (ou Maupin) en 1656 à Genève.

JAILLET Samuel
Maître graveur genevois. Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Décore des boîtes de montre.

JAIN Gabriel
Maître orfèvre et graveur genevois. Milieu du XVIIe siècle. Décore des boîtes de montre.

JAMES Emile
Professeur à l'Ecole d'Horlogerie de Genève. Publie le livre "Traité des Sonneries" à la fin du XIXe siècle.

JANIN A.-H.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JANIN-DELARUE
Horlogers. Mentionné à Genève en 1815.

JANMONOD (JAMMONOD, JEANMONOD) Jean-Etienne
Fils de François-Louis. Bailliage d'Echallens, canton de Vaud (Suisse). "Faiseur" d'aiguilles de montres. Reçu habitant de Genève en 1791.

JANNIN
Fabricant d'horlogerie genevois. Mentionné en 1798.

JANNOT (JANOT) André
Fils de Jean. Originaire de Chancy, environs de Genève. Reçu habitant de Genève en 1748. Maître horloger. 1755-1771.

JANOLEIN Jaques
Maître orfèvre. Seconde moitié du XVIIe siècle. Construit des boîtes de montres.

JANOT-VICTOR
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en en 1860 et en 1870.

JANVIER Antide
(1751 - 1835) Horloger français, constructeur d'horloges compliquées, à équation, astronomiques, de planétaires, de sphères remarquables par leur conception et leur exécution.

JANVIER Etienne
Maître horloger en 1640. Apprenti chez Etienne Perachon en 1631. Forme Jean Pierre Raby en 1644. En 1652, il s'associe à Machon Jean et s'acheminent jusqu'à la ville de Constantinople. Ils prennent à leur service comme ouvrier, un maître horloger, qu'ils paieront aux pièces.

JAPY Frédéric
(1749 - 1813) Horloger français; le premier qui fabriqua (1776) des ébauches par procédés mécaniques. Pionnier de l'industrie horlogère en France.

JAPY Frederic
Fondateur de la Maison Japy à Beaucourt. Cité dans un acte en 1790 à La Chaux-de-Fonds. Est sur la liste des ouvriers qui travaillent en 1804 pour Robert Courvoisier et Cie.

JAQUARD
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1860.

JAQUE
Horloger. Mentionné à Genève en 1835.

JAQUEMET
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1828.

JAQUEMET B.
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844.

JAQUEMET Simon
Maître horloger genevois. Milieu du XVIIIe siècle. Forme Léonard Vallette en 1749.

JAQUEMET-118
Fabricant d'horlogerie et établisseur. Mentionné à Genève en 1828-1831 et en 1835.

JAQUEMET-BAUDIN
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1835.

JAQUEMOD ou JAQUEMOT
Peintre sur émail Mentionné à Genève en 1862.

JAQUEMOT Théodore
Fils de Nicolas. Apprenti horloger chez Robert Legrand en 1641 à Genève.

JAQUEROD Adrien
(1877 - 1957) Professeur de physique expérimentale à l'Université de Neuchâtel, il s'intéressa aux problèmes horlogers et publia d'intéressantes études sur l'influence de la pression atmosphérique et du champ magnétique sur la marche des montres, sur la marche des montres oscillantes, sur les spiraux en verre, sur la validité de la loi de Hooke. Fondateur et président de la Société suisse de chronométrie, il créa le Laboratoire suisse de recherches horlogères à Neuchâtel où des savants physiciens, chimistes, métallurgistes, horlogers, s'efforcent de résoudre les problèmes posés par la construction des appareils à mesurer le temps.

JAQUES Alexandre
Né en 1757 à Genève. Horloger.

JAQUES François-Louis
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

JAQUES Jean-Pierre
Fabricant d'horlogerie. Vers 1800 à Genève.

JAQUES Paul
Mécanicien genevois. Membre du comité de la Société des Arts en 1776 et 1777. Construit des machines pour l'horlogerie.

JAQUET
La famille de ce nom, originaire de Saint-Imier, a donné d'excellents horlogers au XVIIIe et au XIXe siècles.

JAQUET Abraham
Fils de Moïse. Originaire de Rolle (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1748.

JAQUET Alexandre
Né en 1757 à Genève. Horloger.

JAQUET André
Pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1775.

JAQUET David
Fils d'André. Apprenti horloger chez Antoine Esquivillon en 1714.

JAQUET Eugène
Directeur de l'Ecole d'Horlogerie de Genève, vers 1920 jusqu'en 1943. Président de la Société suisse de Chronométrie. Président de la Classe d'Industrie de la Société des Arts Conservateur des Collections d'horlogerie du Musée d'Art et d'Histoire de Genève. Il a beaucoup contribué à l'émulation des horlogers et des collectionneurs de montres, de par ses nombreuses activités et ouvrages, dont voici la liste: "L'Ecole d'Horlogerie de Genève", en 1924; "Le Formulaire Technique pour l'Horlogerie", en 1929; "Charles Piguet Fajes", en 1934; "La Réparation des Pendules", en collaboration avec Gilbertini, en 1936; "Les Horlogers Genevois du XVIIe siècle", en 1938; "La Pendule Neuchâteloise", en 1942; "Les Cabinotiers Genevois", en 1942; "Histoire et Technique de la Montre Suisse", en 1945; "La Montre Automatique Ancienne", en 1952; "Le Musée de l'Horlogerie de Genève", en 1952.

JAQUET François
Horloger. Mentionné à Genève en 1860 et en 1874.

JAQUET Guillaume
Maitre horloger et vitrier à Saint-Blaise. Cité de 1669 à 1680 à propos de diverses horloges de clocher.

JAQUET Jacob-Louis
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JAQUET Louis
Spécialisé en petites montres à ancre et cylindre de 4 à 12 lignes, à remontage par le pendant. Montres de précision. Présent à l'Exposition nationale de Genève et mentionné à Genève en 1896.

JAQUET Pierre
Maître horloger, il était bourgeois de Genève et s'établit à La Neuveville dès 1656.

JAQUET René
Fabricant d'horlogerie. Expose à la Foire d'Horlogerie de Bâle en 1942 et 1943. Signe une montre-bracelet rectangulaire en or, avec des anses en forme de flammes. Mentionné à Genève en 1940.

JAQUET-117
Fabricant d'horlogerie. Montres-pendentifs. Mentionné à Genève en 1835.

JAQUET-DROZ & LESCHOT
Fabricants d'horlogerie et automates à oiseaux chanteurs. Genève et Londres. 1752-1791. La maison prend un grand développement à partir de 1772. Travaillent à Londres en 1782 et s'installent à Genève en 1784. Jaquet-Droz s'associe avec son fils adoptif, J.F. Leschot, en 1784.

JAQUET-DROZ Abrant
Père de Pierre. Horloger pendulier et agriculteur; habitait en 1750 au Grand Quartier des Vieilles Chaux avec 5 autres penduliers.

JAQUET-DROZ Henri-Louis
Né le 13 oct. 1752 à La Chaux-de-Fonds, décéde à Naples en 1791, fils de Pierre et de Marie-Anne Sandoz-Gendre, épouse en 1787 Louise-Susanne Benelle. Célèbre constructeur d'automates et horloger pendulier. Fit un séjour à Nancy de 1767 à 1769. Construisit en grande partie le Dessinateur, la Joueuse de clavecin et la Grotte. Établit en Angleterre en 1775 une succursale. En 1784 se fixe à Genève avec son associé J.-I. Leschot et laisse à la tête de la maison de Londres Henri Maillardel.

JAQUET-DROZ Henri-Louis-116
(Genève 1752-1791). Fils de Pierre. En 1773, représente à Londres la maison de son père. Revient à Genève en 1784. Fonde, avec J.-M. Pouzait et les frères Godemar, une fabrique-école de cadratures (mécanismes de la répétition) sous les auspices de la Société des Arts, 1788-1792. Meurt à Naples.

JAQUET-DROZ Jean
fils de Jean, époux de Blaisa, fils de Daniel Ducommun-dit-Boudry. Cité comme horloger à Huningue "depuis plusieurs années ", en 1725.

JAQUET-DROZ Moïse
Graveur à La Chaux-de-Fonds. Travaille vers 1784 pour Pierre Jaquet-Droz et pour J. Robert et fils.

JAQUET-DROZ Pierre
Né le 28 juillet 1721 à La Chaux-de-Fonds, décédé à Bienne le 21 nov. 1790, fils d'Abram et de Marie-Madelaine Droz père d'Henri-Louis. Célèbre pendulier et mécanicien. Étudiant à Bâle, puis proposant à Neuchâtel en 1740. Quitte la théologie pour se vouer à l'horlogerie et à la mécanique. En 1753, il se rend à Paris et en 1758 à la cour d'Espagne, avec 7 pièces. Ses oeuvres les plus connues sont l'Écrivain, le Dessinateur, la Joueuse de clavecin et la Grotte (les trois derniers faits en collaboration avec son fils). Séjourna quelques années à Genève à la fin de sa vie.

JAQUET-DROZ Pierre-115
(La-Chaux-de-Fonds 1721-Bienne 1790). Très célèbre mécanicien, fait plusieurs fameux automates achetés par Ferdinand VI d'Espagne et par Lord Macartney qui les envoie l'Empereur de Chine. Crée en 1755 un système de remontage par différence d'expansion entre deux métaux, développe successivement d'autres différents systèmes de remontage pour montre, par tiges coulissantes, par secousses et par rotor. Spécialisé dans la montre de luxe, les montres à automates, montres oiseau chanteur, tabatière et autres bijoux avec oiseau chanteur. Beaucoup de ses ceuvres sont achetées par J. Cox qui les revend en Orient. Expose en Italie, Espagne, France, Angleterre, Inde et Chine. La maison prend un grand développement à partir de 1772. Ouvre les succursales de Londres, Paris, Bâle et Neuchâtel. Droz et Leschot travaillent à Londres en 1782 et s'installent à Genève en 1784. Droz s'associe avec son fils adoptif, J.F. Leschot, en 1784. Reçu bourgeois à Genève en 1785.

JAQUIER André
Fils de Louis. Né à Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1783.

JAQUIER François
Horloger. Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Montres oignon avec réveil, à répétition. Signature trouvée sur une montre avec scène érotique, peinte sur émail.

JAQUIER Jacques-Albert
Fils de Rodolphe. Moudon, bailliage de Morges (Suisse). Orfèvre. A un fils, Reçu habitant de Genève en 1790.

JAQUIER Lazare
Fils d'André. Collonges-sous-l'Ecluse, canton du Valais (Suisse). Maître horloger. Reçu habitant de Genève en 1692. Montres-oignon de style français.

JAQUILLARD Jeanne Marguerite
Faiseuse de chaînettes. Seconde moitié du XVIIIe siècle.

JAQUIN
Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

JARCELAT Antoine
Maître horloger. Seconde moitié du XVIIe siècle. Marié en 1658. Travaille à Genève puis à Grenoble (France).

JARCELAT Gabriel
Apprenti horloger chez Pierre Badolet Lejeune en 1638.

JARCELAT Jaques
Fils de Gabriel. Apprenti horloger chez Antoine Jarcelat à Grenoble (France) en 1660.

JAUDIN Louis
Paris (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1711.

JAVELLE Adolphe
Emailleur Mentionné à Genève en 1857.

JAY Jaques
Maître horloger genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1688. Forme Pierre Desmarin en 1678.

JAY Louis
Maître horloger genevois. Milieu et seconde moitié du XVIIe siècle. Forme Alexandre Meyranne (Meyrenne ou Meyronne) en 1648.

JAY Paul
Maître horloger genevois. Forme Jaques Dupuy en 1673, Paul Dufour en 1682.

JEAN-FREDERIC
Fils de Frédéric. Né en 1746 à La Chaux-de-Fonds, décédé à Genève en 1824. Horloger et mécanicien de grand talent. Apprenti de Pierre Jaquet-Droz, il devint l'associé de son fils en 1782, le suivit en Angleterre et à Genève. Il participa à la construction des androïdes.

JEAN-PETITMATILE Jean-Jacques
Pendulier au Locle vers 1800

JEANDOUX Pierre
Maître orfèvre vers la seconde moitié du XVIIe siècle à Genève. Construit des boîtes de montres pour Charles Bobinet.

JEANGUENIN
Famille de Courtelary qui fournit de bons horlogers.

JEANJAQUET Ali-Auguste
Né le 19 avril 1852, fils et apprenti de Frédéric, pendulier. Établi depuis 1875 à Montbéliard.

JEANJAQUET Constant
Né en 1809, frère de Frédéric son apprenti et de Frédéric-Auguste. Apprenti d'Abram-Louis Borel. S'établit à Couvet. Excellent pendulier.

JEANJAQUET Eugène
Né en 1861, fils de Frédéric et de Félicie Vivot. Apprenti de son père; travailla 8 mois dans une fabrique de Montbéliard. Pendulier à Fleurier en 1917. Sa fille, Mlle Emma Jeanjaquet, peint et dore les cabinets qu'il reçoit principalement de M. Paul Bachmann à la Brévine et de M. Jaques à l'Auberson près Sainte-Croix.

JEANJAQUET Frédéric
Né le 4 mars 1823 à la Roche sur Louvet, décéde le 7 mars 1897 aux Verrières, fils de David-Frédéric. Epoux de Julie Guye, frère de Constant et de Frédéric-Auguste, beau-frère d'Abram-Louis Borel fils, père d'Eugène et d'Ali. Élève de P.Auguste Borel, puis de son frère Constant. Louis JeanRichard dit Louis Richard, principaux penduliers du Val-de-Travers au XIXe siècle. Fut établi de 1844 à 1847 au Locle, puis habita exclusivement le haut-vallon. A formé une vingtaine d'apprentis dont la plupart ont passé à la montre.

JEANJAQUET Frédéric-Auguste
Frère de Frédéric. Habitait vers chez Sulpy sur Couvet vers 1840. Pratiqua quelques années la pendulerie.

JEANJAQUET Ulysse
Fils de Constant. Pratiqua quelques années la pendulerie à Couvet vers 1840

JEANMAIRET Sylvains
Né en 1805, décédé en 1890. Apprenti de son oncle Fréd.-L. Favre-Bulle. Contribua grandement au développement de l'horlogerie de précision au Locle et celui de la chronométrie de marine en particulier.

JEANNERET Auguste
Horloger régleur. Reçoit une mention honorable au Concours de réglage de chronomètres, en 1897. Mentionné à Genève en 1870.

JEANNERET Charles-François
Pendulier à La Chaux-de-Fonds avant 1779. S'établit vers 1787 à Travers. Plusieurs pendules signées.

JEANNERET Const.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JEANNERET Henri-Ferdinand
En 1809 ouvrier de Fr.-Antoine Borel, à Couvet, puis maître pendulier à Travers. Reçoit de 1820 à 1830 des cabinets de Ch.-Fr. Dubois.

JEANNERET P.
Pendulier à Travers à la fin du XVIIIe et commencement du XIXe siècle. Cité en 1802. Belles pendules signées. Un P. Jeanneret-Gris à Lyon, achète en 1756 des cabinets de pendules à A.-L. Sandoz.

JEANNERET Philippe
Fabricant de cadrans de pendules aux Eplatures. Maître très habile. Cité de 1835 à 1845.

JEANNERET-GRIS Jean-Jacques
Né dans la 2me moitié du XVIIIe siècle. Mécanicien de talent au Locle dont les inventions profitèrent à Frédéric Japy, fondateur de la fabrique de Beaucourt, qui avait été ouvrier dans son atelier. Inventa en particulier des machines pour la fabrication des blancs-roulants de pendules de cheminée. Une pendule longue lune faite par lui

JEANNERET-GRIS Jules
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

JEANNERET-GROSCLAUDE Frédéric
Né à la fin du XVIIIe siècle, décédé en 1857. Horloger au Locle. Travailla à la fin de sa vie à Valangin à une « horloge géographique ».

JEANNERET-PIGUET
Horlogers. Mentionné à Genève en 1874.

JEANNET G.
Emboîteur. Mentionné à Genève en 1907.

JEANNET, MOREL et BOURQUIN
Fabricants d'horlogerie. 1919-1935 environ. "NITON" Marque genevoise enregistrée en 1919.

JEANNOT Paul
Fabricant d'horlogerie. Genève, Le Locle, La Chaux-de-Fonds (Suisse). Marques déposées en 1880. Détient un certain temps la marque Paul Perret, enregistrée en 1888. La marque "Azur P.J." enregistrée en 1890. "Paul Jeannot-Paul Perret patent" enregistrée en 1890. La marque "P.J." enregistrée en 1892. Fin du XIXe et début du XXe siècle. Montres à grandes complications et de grande qualité. Fabrique pour l'Espagne et l'Amérique du Sud. S'associe avec Paul Perret pour la construction de chronomètres de poche. En 1896, rachète à Paul Jeannot, La Chaux-de-Fonds, des brevets pour des perfectionnements apportés à la construction des mouvements de montres de toute dimension et un nouveau système avec colimaçon régulateur. Montres à secondes indépendantes.

JEANNOT Victor
Horloger. Mentionné à Genève en 1866.

JEANRENAUD
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

JEANRENAUD Jean-Jacques
Fils de Jean-Jacques. Morat, canton de Fribourg, (Suisse). Maître horloger. Reçu habitant de Genève en 1790. S'associe avec Antoine Tavan et Jacques Chevandier de 1791 à 1794.

JEANRENAUD L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JEANRENAUD-113
Pierre-Henri

JEANRENAUD-114
les Frères Cités comme horlogers en gros et en petit volume, à Môtiers et à Boveresse.

JEANRICHAD-DIT-BRESSEL Daniel
Né à la Sagne en 1665,décédé en 1741 au Locle, fils de David, frère d'Abram. Ne fut pas forgeron, mais orfèvre, horloger en petit volume et pendulier à la Saône, puis au Locle depuis 1706. Un des principaux pionniers de l'horlogerie neuchâteloise. Contribua surtout au développement de l'industrie de la montre dans les Montagnes.

JEANRICHARD Abram
, fils de David, frère de Daitiel, époux de Marie Perrelet. Orfèvre et horloger à la Sagne, puis à Morat. Cité de 1707 à 1734.

JEANRICHARD Félix
Pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1756

JEANRICHARD-DIT-BRESSEL François-Julien
1796-1879. Horloger pendulier à la Sagne.

JEANRICHARD-DIT-BRESSEL Louis
Né en 1812, décédé en 1875. Neveu par alliance de Frédéric-Louis Favre-Bulle. Son père était l'arrière-petit fils de Daniel Jean-Richard Horloger de grand talent. Fit des montres, des chronomètres de marine et un régulateur de précision au Locle.

JEANRICHARD-DIT-BRESSEL Philippe-Henri
(1809-1872) époux de Julie Courvoisier (1811-1866). Peintre en cadrans de pendules et de montres aux Eplatures. Travaillait avec sa femme pour Philippe Jeanneret surtout.

JENIN Pierre
A fait le cadran solaire de l'église de Saint-Blaise, vers 1630.

JEQUIER J.-J.
Horloger pendulier à Fleurier et capitaine. Maître d'apprentissage de 1759 à 1760 de Jonas-Henri Berthoud qui devint son beau-frère. Paraît avoir surtout travaillé la montre.

JERCELAT Gabriel
Maître et commerçant de montres genevois. Milieu et seconde moitié du XVIIe siècle.

JERCELAT Jaques
Fils de Gabriel. Apprenti horloger genevois chez Jacob Moly en 1662.

JERMAN Balthazar
Ébéniste et doreur d'ornements pour pendules à Peseux, en 1771.

JEROME
Horloger genevois, utilise probablement un pseudonyme. Début du XIXe siècle. Spécialisé dans la construction de montres à scènes libertines, toutes peintes sur émail.

JETELER Rodolphe
Maître orfèvre genevois. Milieu du XVIIe siècle. Forme Jaques Guilleron en 1642.

JO'S MATERIAIS
Marque genevoise enregistrée

JOACHIM & EMETAZ
Monteurs de boites. Mentionnés à Genève vers 1828.

JOANIN François
Orfèvre genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Spécialisé dans les tabatières, boîtes en or et émail et montres fantaisies.

JOANNOT P.A.
Fabricant de montres à cadrans lumineux. Mentionné à Genève en 1907. Marque "Luz" enregistrée en 1911. "chronomètre Polono" enregistrée en 1919. "Fétiche" enregistrée en 1919.

JOANNOT P.A.-BALTISBERGER
Marque genevoise déposée en 1884. Brevète en 1892 un podomètre et une montre boussole. Spécialités: podomètres, montres boussoles avec cartes de différents pays, pendulettes avec quantième, montres presse-lettres à cadrans lumineux. Présents à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Médaille de bronze à l'Exposition universelle de Bruxelles en 1897.

JODIM Pierre
(Genève 1715-1761). Horloger. Auteur d'un traité sur les échappements à recul.

JODRY Ulysse
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JOHANNOT P. A.
Horloger. Mentionné à Genève en 1920 et en 1924.

JOLIMAY (JOLIMAN) Pierre
Fils de Samuel ou Jacob. Goumoens, bailliage d'Echallens, canton de Vaud (Suisse). "Faiseur" de clés de montres. Reçu habitant de Genève en 1725.

JOLIVET A.
Horloger (rhabilleur) Moillesulaz. En 1861.

JOLIVET Anche
Apprenti orfèvre chez Abraham Brasier en 1665.

JOLIVET Jean Pierre
Apprenti horloger chez Jérémie Delafeuille en 1676, chez Etienne Esther en 1678 à Genève. Maître en 1686.

JOLLAT Ignace
Serrurier, de Porrentruy, s'occupa des horloges de la ville de 1748 à 1772. Son fils Joseph lui succéda.

JOLLI Louis
De Malval. Horloger. Milieu et fin du XVIIe siècle. Montres-réveils. Comme de nombreux autres paysans, ces campagnards genevois s'adonnent à l'horlogerie durant les mois d'hiver. Le Conseil sévit contre eux en 1697, mais il leur permet "de travailler en leur particulier, dans les lieux où ils habitent à présent, mais... leur ordonne de congédier les apprentis et compagnons qu'ils pourraient avoir".

JOLLY Antoine
Horloger genevois. 1786-1817.

JOLY & CHENEVARD
Orfèvres associés, première moitié du XIXe siècle. Spécialisés dans la montre-tabatière, boîte à musique, boîte à oiseau chanteur, montres polissonnes à automates.

JOLY Abraham
Maître horloger et "faiseur" de ressorts. Apprenti chez Pierre Frémin, citoyen, en 1657. S'associe avec André Rittel entre 1672 et 1673. Forme Daniel Bouillon et Jacques Bourdillat en 1675. Meurt en 1685.

JOLY Abraham-111
Fils de Jaques. Apprenti horloger chez Jacques Rittel en 1679 à Genève.

JOLY Abraham-112
Fils d'Abraham. Maître horloger en 1705. Apprenti chez Nicolas Bouquet en 1694.

JOLY Antoine
Horloger genevois. Milieu du XVIIIe siècle. Signature trouvée sur une montre à répétition à quarts.

JOLY Daniel
(Environ 1627-1690). Fils de Michel. Maître graveur. Apprenti chez Gerson Simonin et chez Abraham De Candolle en 1640. S'associe avec Laurent Bougreau en 1650.

JOLY Georges
Fils d'Antoine. Apprenti horloger chez Denis Dominicé en 1698 à Genève.

JOLY Hipp
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JOLY Jaques
Fils de Jaques. Né à Genève. Cité comme maître orfèvre en 1630. Epouse Marie Mussard en 1638.

JOLY Jaques I
(Genève 1622-1694). Fils de Pierre. Apprenti chez Jacques Sermand l'oncle en 1635. Maître horloger en 1645. Montres de forme, émaillées et en cristal de roche. Forme Thomas Ravaud en 1651; Epaphras Comte en 1652; Domeine Chabrey fils d'Estienne, en 1654; Etienne Motel en 1657; Jn J. Megevand en 1658; Louys Gautier en 1664; Ezechiel Sarrasin en 1668. A pour compagnon Roger Drake de 1664 à 1667. Epouse, en 1655, Anne Vautier et, en seconde noce, Jeanne Colladon, qui apporte une dot de 6500 florins. Remet, en 1662, une série de montres à Humbert Damoysel dit Ledamoysel, afin de les vendre à Turin. Fait des montres astronomiques pour le marché turc. Une très belle montre en métal doré, boîte lobulée en cristal de roche, cadran en argent gravé, vers 1650.

JOLY Jaques II
Fils de Jaques I, mort vers 1693. Apprenti horloger chez Etienne Chavannes en 1665 à Genève.

JOLY Jean
Fils de Jacques. Charenton près de Paris (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1776.

JOLY Jean François
Maître horloger. Fin du XVIIe, début du XVIIle siècle. Montres oignon, montres-réveils.

JOLY Jean Philippe
Fils de Jean. Maître lapidaire genevois. Sa raison sociale figure sur des actes notariés de 1684 et 1685.

JOLY Jean Pierre
Maître orfèvre, en 1691. Apprenti chez Jaques Jaccon en 1681 et 1682 à Genève.

JOLY Jean-François
Fils de Pierre. Avully (Genève). Reçu habitant de Genève en 1743.

JOLY Jean-Louis
Horloger à Malval (Genève). Apprenti chez Etienne Chavannes en 1668. Sa raison sociale figure sur des actes notariés de 1684 et 1685. N'est pas cité comme maître, mais construit des ébauches.

JOLY Noel
De Saint-Denis en Brie. Pendulier. Reçoit en 1745 Certificat d'apprentissage de David Moilet à Travers.

JOLY Pierre
Baptisé en 1619. Fils de Pierre. Apprenti orfèvre chez Jaques Sicher en 1634. Forme Jean Emanuel Devenoge en 1661.

JOLY Pierre, Jean et Jaques
Marchands horlogers et orfèvres. Vers 1670.

JORDAN Pierre
Maître horloger et orfèvre genevois. Première moitié du XVIIe siècle. Se marie avec Maurise Dellapallud en 1637.

JORNAND Gaspard
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

JORNOD (JONOD) David
Horloger, les Ponts-de-Martel. Cité à la Sagne en 1702.

JORNOT Daniel
Horloger des Ponts-de-Martel. Mentionné à Genève en 1701.

JORNOT E.
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866 et en 1874.

JOSEPH Emile
Horloger, né à Sainte-Croix le 20 octobre 1843. Il s'établit à Genève aux alentours de 1867.

JOSEPH Henri Louis
Horloger, né à Sainte-Croix en 1806. Il s'établit à Genève aux alentours de 1825.

JOTES
Marque genevoise enregistrée.

JOUARD & GOLAY
Horlogers genevois. Vers 1815.

JOUARD Albert
Né en 1752 à Genève. Horloger.

JOURDAN
Horloger genevois. Fin du XVIIIe; début du XIXe siècle.

JOURDAN Régis
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1861.

JOURNE François-Paul
Né en 1957 à Marseilles. Diplômé de l'Ecole d'horlogerie de Paris en 1977. 1978 : entre dans l'atelier de son oncle à Paris. 1978 : Construction de sa première montre de poche à tourbillon. 1985 : Création de son premier atelier, rue de Verneuil à Paris. 1985 : Fabrication d'une montre planétaire. 1989 : création d'une manufacture de mouvements en Suisse. 1996 ; création de TIM SA, Genève pour la conception de calibres exclusifs au service des grandes marques. 1999 : lancement d'une collection signée : « F.P. Journe Invenit et Fecit ». Première mondiale : Tourbillon Souverain, Chronomètre à résonnace. En 2000, première mondiale avec un mouvement automatique à complications intégrées. Installation des ateliers, rue de l'Arquebuse à Genève.

JOVARD Albert
Né en 1752 à Genève. Horloger.

JUILLARD
Importante famille d'horlogers et d'industriels, originaire de Sonvilier et de Cortébert

JUILLARD FRÈRES & MOREL
Milieu du XIXe siècle à Genève. Montres en tous genres, spécialisés en montres décorées d'émail et de pierres.

JUILLERAT Jean-Pierre
Maître horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. Sa signature figure sur une montre à répétition avec date.

JULIEN
Horloger Mentionné à Genève en 1862.

JULIEN FILS & Cie.
Fabricants d'horlogerie genevois. Vers 1800.

JULIEN Vincent
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

JULIEN-GUILLOT
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

JULLIEN
« Etablisseur » d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1835.

JUNOD Frères
Montres de bonne qualité à boîte décorée de gravures et d'émaux. 1800-1850.

JUNOD(S) ou JUNOT(S)
Fabricant et marchand d'horlogerie. Emboîteur Mentionné à Genève en 1828-1840.

JUNOT J.
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

JUNOT Victor
Horloger. Mentionné à Genève en 1860 et en 1874.

JUNTES
Etablisseur d'horlogerie. 1828-1835. Horloger. Mentionné à Genève en 1835.

JUNTES J. L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JURGENSEN
Né à Copenhague en 1777, décédé 1830, fils de George, époux de Sophie Houriet, père de Jules et de Louis. Célèbre horloger. Appartient plutôt à l'Histoire de l'horlogerie du Danemark, mais vécut aussi au Locle en 1801 et en 1808, où il épousa la fille de J.-Fréd. Houriet. Six pendules astronomiques de la plus grande exactitude. Plusieurs portant l'indication Copenhague appartiennent à la maison Jürgensen, au Locle.

JURGENSEN Jules
Né au Locle le 27 juillet 1808, décédé à Genève en 1877. Horloger réputé et inventeur de talent. Fit des études à Copenhague sous la direction de son père et s'occupa au Locle avec succès d'horlogerie et de chronométrie de marine et de poche. Établit plusieurs pendules astronomiques. Son fils aîné Jules-Frédéric Urbain (1838-1894) continua son oeuvre avec succès.

JURINE François
Lyon (France). Horloger. Reçoit la bourgeoisie genevoise en 1744.

JURINE Jean Pierre
Né en 1748. Fils de François. Maître horloger et orfèvre. Apprenti orfèvre chez Jean & Alexandre Patry en 1762.

K
Marque genevoise enregistrée.

KADROWSKI Joseph
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

KAENDLER Frédéric
Horloger. Mentionné à Genève vers 1816.

KAESER John et Cie
Commerce d'horlogerie, enregistre les marques "Cirano", "Dorera", "Dourado", "Oxima" en 1918, "Ika" et "Mirella" enregistrée en 1919.

KALTBRUNNER
Etablisseur d'horlogerie. Vers 1835. Horloger. Mentionné à Genève en 1851.

KATZ Léopold
Horloger, marchand. Mentionné à Genève en 1907.

KAUFMANN Henri
Joaillier, graveur-ciseleur. Mentionné à Genève en 1909. Décore des boîtes de montres. En 1911, dépose un brevet pour une boîte de montre d'un type nouveau et un dispositif pour assujettir un verre dans une lunette.

KAUFMANN M. W.
Articles d'horlogerie. Reprend la marque "The Star of India" enregistrée par JH. Frossard, fabricant, de Porrentruy, en 1904

KAUFMANN Wilhelm
Fabricant horloger à Londres. "The Wilka Watch" Marque genevoise enregistrée en 1905. Selon enregistrement du 5.8.1906 cette marque transfère son siège à Genève. "Nizam" et "Wilka" marques enregistrées en 1906. En 1907 sont enregistrées la marque "Siroco" et une marque avec caractères en chinois. En 1907 la marque sous l'emblème d'une tortue ainsi que la marque "K", "Montor et Montor registered" enregistrées en 1911; "Radja Naya" en 1912, radiée en 1912. "Houriett" enregistrée en 1917. Signe une montre en or avec miniature émail cachée, représentant une Naïade au Bain. Vers 1920, sous la marque Wilka. "Avis","Prospect", "Albris" et "Contessa", marques enregistrées en 1922. Mentionné à Genève en en 1920 et 1924.

Kazès Jean
Ingénieur en mécanique d'origine suisse et installé à Carouge, Jean Kazès s'illustre depuis 1972 dans des pendules et horloges sculpturales.Pièce uniques, disponibles ou conçues sur demande, les compositions abstraites exaltent l'épure de mouvements simples ou à complications : calendrier perpétuel, indications astronomiques, temps universel, sonneries des heures.Oeuvres d'art, elles expriment l'équilibre subtil entre maîtrise de la tradition horlogère et esthétique contemporaine. Par leur sobriété autant que par leur technicité, elles trouvent la place dans les intérieurs particuliers, comme dans les bâtiments de prestige.

KECKER Fe.
Horloger chez Droz et Leschot. Spécialisé dans les montres à remontage automatique.

KECKER Jean-Abram
Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1778 à 1800. A 2 ouvriers en 1783. Travaille pour J. Robert et fils et Cie. Demande des avances pour établir une fabrique de « pendules d'art » avec Sandoz l'émailleur (Jean-Louis) à Besançon.

KEHLHOFF
Fabricant d'échappements et de roues à cylindre. En 1891, Edward Koehn quitte la Maison Patek et achète la Maison Robert Ekegren où il continue leur production sous signature collective ou individuelle. Construit des montres plates et extra-plates de très haute qualité, répétitions, chronographes et rattrapantes. La Société continue au Grand-Quai, fabrique des montres pour Tiffany New York, brevète une montre à barillet suspendu, à remontoir au pendant: "Roseau", Marque genevoise enregistrée en 1912 "Thermindex", enregistrée en 1922. Mentionné à Genève en 1907, en 1920 et 1924.

KEHLHOFF-110
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

KETTERMANN Christophe
De la Russie. Ciseleur à La Chaux-de-Fonds en 1775. Fait de 1782 à 1784 pour J. Robert et fils des boites de cheminée en fonte et des garnitures complètes de pendules.

KHAMMI Henry
De Zurich. Reçoit Lettres d'apprentissage en 1780 d'Adam Voiroz maître ciseleur à La Chaux-de-Fonds.

KLENTSCHI Charles-Frédéric
Né 1774, décéde en 1851 à La Chaux-de-Fonds, père de Louis. Maitre horloger pendulier très habile. Achète de 1831 à 1842 des cabinets de pendules à Ch. Dubois. Il eut pour apprenti Jonas-Pierre Dessoulauy et Frédéric-Alexandre Courvoisier (Fritz Courvoisier).

KLENTSCHI Louis
Fils de Charles-Frédéric, né le 23 oct. 1806, décéde en 1881. Habile horloger pendulier, fit des mouvements compliqués. Associé de son père. Travaillait beaucoup pour la Maison Couruvisier frères.

KOLLER Jean-Conrad
De Mulhouse. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1792 à 1806.

KOLLER L.
Emailleur. Mentionné à Genève en 1860.

KRIPPENDORFF Jean-François-Louis
Fils de Jean-Samuel. Bailliage de Lausanne (Suisse). Maître orfèvre, joaillier. A deux fils. Reçu habitant de Genève en 1790.

KUNTZI John
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

KUNZLI Albert
Professeur à l'Ecole d'Horlogerie de Genève. Dépose un brevet pour un compas à ponts en 1905.

KUPFER
Pendule signée Küpfer, à Neuchâtel 1690.

KURZ D.
Horloger et marchand. Mentionné à Genève en 1907.

KUSTER & Cie.
Horlogers-marchands genevois.

L'ARCHEVÈQUE
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1800.

L'ARCHEVÈQUE & LIODET
Montres à musique sur clochettes et lames vibrantes de bonne qualité. Début du XIXe siècle à Genève.

L'EVESQUE, LES FRERES Henri, Jean et Jean-Michel
Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Peintres sur émail à Genève.

LA PAIX
Marque genevoise enregistrée.

LA PIERRE Michel
Né en 1759. Horloger genevois.

LA POSTE Louis
Pendulier à la Brévine. Travaille en 1771 pour le compte de J.-H. Perreraoud.

LA ROCHE P.
Fabricant d'horlogerie. Fin du XVIIIe siècle.

LA TENTE Pierre
Canonnier. Reçu en 1656 des Favres, Maçons et Chappuis. Chargé en 1680 de la conduite de l'horologe de l'hôpital avec celui des Chavannes à Neuchâtel.

LACROIX & MONNERAT
Etablisseurs d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1828-1831.

LACROIX Pierre
Horloger genevois. Fin du XVIe, début du XVIIe siècle.

LACROIX Pierre-108
Fils de Pierre. Apprenti horloger chez D. Duboys de 1626 à 1629 à Genève.

LACROIX Pierre-109
(Genève 1804-1871). Horloger. Crée la première usine de machines pour boîtes de montres vers 1855. Mentionné à Genève en 1844 et en 1870.

LACROIX-MEYLAN
Horlogers. Mentionné à Genève en 1874.

LADEMOLE
Horloger et commerçant. Milieu du XIXe siècle, montres décorées avec boîtes en or émaillé.

LÂDERMANN J.-P.
Atelier d'horloger. Mentionné à Genève en 1866.

LADERMANN Pierre-Gratien
Fils de Jean-Louis. Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1789. Son fils Jacques-Gaspard reconnu natif.

LAEDERMANN
Fabricant d'horlogerie. Début du XIXe siècle à Genève.

LAEDERMANN André-Samuel-Lazare
Fils de Jean-Louis. Lausanne (Suisse). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1773.

LAFEUILLE Edouard
Maître horloger. Réfugié à Genève, en provenance de Sedan (France), en 1668.

LAFONT (LAFON) André
Fils d'André. Originaire du Languedoc (France). Compagnon horloger. Reçu habitant de Genève en 1754.

LAFONTAINE Charles & CIE SA.
Horlogers. Mentionnés à Genève en 1815, 1828-1831 et en 1844.

LAFORGE Henri
Marchand genevois. Vers 1860-1880. Montres de très belle qualité, destinées au marché espagnol et sud-américain. Signe une montre à tourbillon à une minute, faite par Ernest Guinand.

LAFORGE J.
Fabricant d'articles d'horlogerie et de bijouterie. Marque "Horus" enregistrée en 1905. Mentionné à Genève en 1907.

LAGIER & BAUDIT
Horlogers. Hambourg et Genève. Vers 1815.

LAGIER Adrien
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

LAGIER Bugnon
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

LAGIER Marc
Maître horloger genevois. Milieu et seconde moitié du XVIIe siècle. Forme François Dufour et Jean Allioud en 1648. Petites montres-pendentifs avec boîte en or et émail peint et cristal de roche.

LAGISSE André
Maître et marchand horloger genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1695.

LAGISSE François
Maître horloger genevois. Seconde moitié du XVIIe siècle.

LAGISSE François-107
Fils de François. Apprenti horloger chez Abraham Gardelle en 1698 à Genève.

LAGISSE Marc
Fils de Nicolas. Apprenti "faiseur" de boîtes chez Jules Pattey en 1695 à Genève.

LAGISSE Marc-106
Fils d'Antoine, frère de Pierre. Maître horloger. Travaille de 1640 à 1670 environ. Apprenti chez Antoine I Arlaud en 1641. Construit des montres fantaisie, signe une montre, tête de mort en argent, avec cadran gravé, fusée à boyau à Genève.

LAGISSE Pierre
Fils d'André. Apprenti horloger chez Denis Dominicé en 1695.

LAGISSE Pierre Didier
Genève et Ispahan. Horloger. On trouve au moins 10 horlogers portant le nom de Lagisse, dont 5 avec l'initiale P., travaillant à Genève à la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècles. Plusieurs d'entre eux sont connus pour être de la même famille. Pierre-Didier Lagisse meurt en 1679. Sa raison sociale figure sur des actes notariés de 1660 et 1664. Il travaille à Genève avant de s'installer à Ispahan où il devient horloger et conseiller du Shah, réalisant par là une immense fortune. On connaît deux montres qui lui sont indéniablement attribuées: l'une en métal doré et émail vers 1670 et l'autre en métal doré et cristal de roche, comportant l'un des premiers balanciers avec spiral réglant, un réglage de la tension du ressort "Tompion" et barillet fixe, vers 1678. Bien qu'il soit clair que c'est l'un des premiers exemples de balancier avec spiral, la montre toutefois ne peut dater de beaucoup plus tôt que vers 1680, époque à laquelle la mode des boîtes en cristal de roche était depuis longtemps dépassée. Cependant, les montres faites par les horlogers expatriés au Moyen-Orient, sont régulièrement anachroniques dans leur forme et évolution technologique. Les cadrans également, faits d'argent doré, travaillé sont dans un style absolument non-européen. (La raison pour laquelle ils utilisaient l'argent était en évidence pour faciliter le travail de champlevé). Le motif floral central pouvait aussi être interprété comme la rose de Shiraz, la fleur nationale de Perse. A part ce qui précède, cette montre peut être considérée parmi les plus anciens exemplaires survivants, faits à Genève avec un balancier. Communément avec quelques montres de la même date, la fusée a été omise en faveur d'un barillet denté, Lagisse pensant certainement, comme le voulait la croyance erronnée, qu'elle n'était plus nécessaire. L'autre montre est typique par ses éléments de décoration liés à son travail en Perse: l'émail turquoise est en fait une combinaison de vert, la couleur islamique associée avec la chance. Bien que les horlogers installés au Moyen-Orient étaient aptes à travailler à de hauts niveaux, la belle qualité et le finissage parfait de cet émail rappelle plutôt le travail de la famille Huaud, notablement Pierre le père, qui était spécialisé pour travailler sur des fonds bleus avec des décorations roses et noires.

LAGISSE Pierre le Jeune
Maître horloger. Apprenti chez Martin Duboule en 1638. Signe une montre-réveil et sonnerie au passage et une montre avec boîte décorée d'un émail des frères Huaud.

LAGISSE Pierre-André
Maître horloger genevois. Juré en 1707.

LALLEMAND (ou L'ALEMANT) Pierre
Originaire de la Lorraine (France). Horloger. S'établit à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle.

LALLEMAND Abraham Louis
Fils de Pierre. Maître horloger genevois. Seconde moitié du XVIIe siècle.

LALLEMAND Jean-Jacques
Commerçant et horloger à Neuchâtel dans la seconde moitié du XVIIe siècle.

LALLEMAND Jean-Jacques-105
Originaire de Genève. S'établit ensuite à Neuchâtel (Suisse). Seconde moitié du XVIIe siècle.

LALLEMAND Pierre Ferdinand
Fils de Pierre. Maître horloger. Seconde moitié du XVIIe siècle. Signe une montre ronde avec boîte en cristal de roche.

LAMATTE (LAMOTTE) Jean-Louis
Fils de Daniel Castres, Languedoc (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1733.

LAMBELET
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1835-1840 et 1844.

LAMBELET Auguste-Louis
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857.

LAMBERT Daniel
Fils de Louis. Dijon (France). Maître horloger. 1700-1715. Reçu habitant de Genève en 1707.

LAMBERT J.-F.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LAMBERT J.-M.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LAMBERT Jean
Etablisseur d'horlogerie. 1826-1848.

LAMBERT Pierre
Maître horloger en 1644 à Genève.

LAMBRECHT Jean-Louis
Horloger. Mentionné à Genève.

LAMI
Pendules de salon et de chambre à coucher. Mentionné à Genève en 1844.

LAMI-104
Horloger. Travaille pour Droz & Leschot. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Spécialisé en montres à remontage automatique.

LAMINOR
Marque genevoise enregistrée.

LAMON Frédéric
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

LAMON Jean
Fils de Michel. Apprenti horloger chez Denis Miroglio en 1718.

LAMUNIERE
Faiseur de boîtes. Fin du XIXe à Genève, début du XXe siècle. Construit des boîtes en or, gravées et décorées d'émail et de pierres, pour le marché indien et persan.

LAMUNIERE A
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1815-1835.

LAMUNIERE Abr.
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1860.

LAMUNIERE Bernard
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1840. 1844, monteur de boîtes.

LAMUNIERE Gaspard
(Genève 1810 - Nice 1865). Peinture sur émail et émailleur. Elève de J. Hornung et J. L. Lugardon. Ouvre un atelier où il travaille avec sa femme et sa nièce Louise Franel. Expose à Genève, à l'âge de 18 ans, une série de portraits peints sur émail et à l'huile. Enseigne à François dit Fanny Chatel.

LAMUNIERE J.-G.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LAMUNIERE JORAN & SCHONENBERGER
Boîtes décorées pour montres-bijoux. Mentionné à Genève en 1900-1920.

LAMUNIERE, BONNET & Cie.
Fabricant d'articles de bijouterie, joaillerie et horlogerie. "Fulgor" Marque genevoise enregistrée en 1909.

LAMY
Horloger. Fin du XVIIIe, première moitié du XIXe siècle à Genève.

LAMY & Cie.
Bijoutier. Construisent des boîtes pour pendules pour Droz & Leschot. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle à Genève.

LAMY FRÈRES
Commission en horlogerie, bijouterie, quincaillerie. Mentionné à Genève en 1828.

LAMY Jean-Noé
Fils de Jean. Hanau (Suisse). Graveur sur or. Reçu habitant de Genève en 1790.

LAMY, REYMOND Jean Georges & Cie.
Orfèvres genevois. Associés de 1800 à 1820. Spécialisés en boîtes de montres en or, émail, perles et pierres, tabatières et nécessaires. Souvent leurs ceuvres sont décorées d'émail peint par les plus grands peintres de Genève. Exportent en Angleterre, France, Espagne, Italie, Orient et Extrême-Orient.

LAMY, VALENTIN
Marchand-pendulier à Couvet. Achète de 1807 à 1812 de nombreux cabinets à Ch.-Fi. Dubois.

LAMY-103
Fabricant d'horlogerie. Terraillet. 1828-1831.

LAMY-CURER fils -E. ou J.-B.
Horlogers. Mentionné à Genève en 1860.

LANDELME Henry
Horloger. Mentionné à Genève en 1720.

LANDER Auguste
Emailleur et peintre sur émail. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LANDRY Jacques
Une pendule signée sur le mouvement « Jacques Laudry, Chaux-de-Fonds 1813 ».

LANDRY Jean-Baptiste
De Courgenay, domicilié à Porrentruy, né en 1820, décédé en 1892. II s'agit d'un de ces horlogers de race comme en a connus le bon vieux temps. Il fit un apprentissage de deux ans chez Antoine Brossard à Delle (1835-1837). On le trouve ensuite successivement à Grellingue (1837), à Mulhouse (11 semaines), à Belfort (8 mois), à Bâle (16 mois chez un nommé Leuba), à NeufBrisach, à Colmar, à Nancy, à Metz (6 mois), à Paris (17 mois), à Louviers (Belgique, 20 mois), etc. Il s'établit à Porrentruy vers 1845, probablement. Pendant de longues années, il fut chargé de remonter et soigner les horloges de la ville. On trouve, dans quelques familles, des horloges portant son nom sur le cadran. Il est probable qu'il faisait venir des pièces de pendules qu'il montait lui-même.

LANG & PADOUX
Fabricants et marchand d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1870.

LANG Arnold & Cie.
Horlogers. Vers 1880. Mentionnés à Genève en 1874.

LANGDORFF
Horloger genevois. Présente à l'Exposition de Genève en 1828, un chronomètre à secondes, dont la particularité est de substituer le ressort spiral du barillet et du balancier par des ressorts droits. Présente aussi un échappement à recul, de son invention.

LANGE, ARMAND & PADOUX
Dernier tiers du XIXe siècle à Genève. Fabricants et marchands. Montres-pendentifs et montres miniatures à échappement à cylindre et remontage à clé et au pendant.

LANGEL
Peintre sur émail Mentionné à Genève en 1870.

LANGEL Jules
Fabrique des boîtes de montres. "Nova" Marque genevoise enregistrée en 1917.

LANGIN Gédéon
Enterré le 17 oct. 1788 à l'âge de soixante et un ans, fils d'Abram, père de Gédéon, épouse en 1752 Madelaine Courvoisier. Natif de Genève, reçu habitant des Planchettes en 1766 et bourgeois de Valangin en 1786. Maître faiseur de ressorts en gros volume à La Chaux-de-Fonds. Cité depuis 1758, a un atelier important et occupe parfois une dizaine d'ouvriers et apprentis et plusieurs artisans à domicile. A de nombreux procès avec eux. Ayant été traité de faussaire par Jacques Palay, de Genève, il obtint rétractation en justice en 1775. Très nombreux ressorts de pendules signés G. Langin

LANGIN Gédéon Fils
Fils de Gédéon. Faiseur de ressorts en gros volume à La Chaux-de-Fonds. Incendié en 1794. Rebâtit immédiatement son habitation. Agit en 1822 au nom de la maison G. Langin et fils. La pendule de l'Hôtel de Ville de Neuchâtel a un ressort signé G. Langin 1790.

LANGIN Mathieu
Bâle et Genève. Apprenti "faiseur" de boîtes et d'étuis de montres chez Elie Guesdin en 1680.

LANGLOIS Jacinthe
Horloger. Mentionné à Genève en 1816.

LANLELME Henry
Maître horloger. Arrive à Genève en 1720, provenant du Dauphiné (France).

LANOIR
Fournit en 1789 des aiguilles de pendules à J. Robert et fils, à La Chaux-de-Fonds.

LAPALLUD & GRANDROI
Etablisseurs d'horlogerie et monteurs de boîtes. Mentionnés à Genève en 1830.

LAPIERRE François
Fils de Pierre. Originaire du Languedoc (France). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1738.

LAPIERRE Léonard
Fils de François. Originaire du Languedoc (France). Venant de Genève, il s'installe à Vienne vers 1795. Spécialisé en montres-pendentifs en or émaillé, en forme de violon, mandoline, poire, chapeaux, etc. Il meurt vers 1825.

LAPORTE L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LAQUIER
Horloger. Mentionné à Genève vers 1700.

LARATTE Joseph§
Fils de Louis. Oroginaire de Lorraine (France). Maître horloger. Reçu habitant de Genève en 1791.

LARCHEVÈQUE (L'ARCHEVÈQUE) Jean
Fils de Benoît Larchevêque, horloger à Fernex (Ain, France), parrain du premier né de Charles Guerchet. Maître horloger et marchand à Meyrin (environs de Genève). Vers 1786.

LARCHEVÈQUE François
Né en 1727. Fils de Philippe. Saint-Laurent, Berry (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1761.

LARCHEVÊQUE P.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LARCHEVESQUE George
Apprenti orfèvre chez Nicolas Maupin, en 1646 à Genève. Boîtes de montres.

LARDER Charles Edward
Genève et Londres. Fabricant et marchand. Montres simples et à répétition. Début du XXe siècle.

LAROCHE Charles & Fils
Seconde moitié du XIXe siècle à Genève. Montres compliquées avec boîtes décorées d'émail.

LAROCHE G.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LARPIN Daniel
Fils de Jean-François. Originaire de Chêne, environs de Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1768.

LARPIN Gaspard
Maître horloger genvois. Vers 1779.

LARRIVE Alexandre
Fils d'Etienne. Apprenti horloger chez Jaques Sermand l'oncle, en 1644 à Genève .

LASSIEUR ou LASSIEU
Etablisseur d'horlogerie en l'Ile. Mentionné à Genève en 1828-1831.

LASSIEURE Pierre David
Horloger. Seconde moitié du XVIIIe siècle.

LATARD
Horloger mécanicien genevois. Invente et perfectionne des machines pour la construction de montre. Vers 1680.

LATARD & Fils
Fabricant d'outils et fournitures d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.

LATARD Jean Philippe
Horloger genevois mentionné vers 1760-1775.

LATOIX
Fabricant de verres de montres. Mentionné à Genève en 1844.

LATOUR Christian
Horloger. S'établit à Genève en 1748.

LATTES GARDIOL & Cie.
Horlogers. Signent une montre savonnette astronomique à double face, double fuseaux horaires et double calendrier. Un système permet le remontage, l'ouverture du couvercle et la mise à l'heure de la montre selon laquelle des deux faces est offerte au regard. Les calendriers sont réglés indépendamment.

LATTES J.
Genève et Le Caire. Fin du XIXe siècle. Montres simples et compliquées pour le marché égyptien.

LATUILE
Etablisseur d'horlogerie, Mentionné à Genève en 1831.

LAUREOUS
Maître horloger. Mentionné à Genève vers 1770.

LAURIER Frédéric
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

LAUTE
Horloger et marchand genevois. Première moitié du XIXe siècle. Montres de forme, en or, émaillées, avec pierres et perles.

LAVAL Eugène
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LAVAL Joseph
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LAVALETTE
Emailleur. Mentionné à Genève en 1835.

LAVENDRE Joseph
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

LAVOUSY
Fournitures d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.

LAVOUSY Dan.-Isaac
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1870.

LAVOUSY-102
Horloger, mécanicien genevois. Invente et perfectionne des machines pour la construction de montres. Vers 1680.

LAVOYER Pierre-Cyprien
Fils de David Apprenti depuis 1794 de Henri-Ferdinand Gayenet, pendulier à Couvet.

LAWATER
Commissionnaire pour l'horlogerie. A Genève. Maison Latoix. Moitié du XIXe siècle.

LE BLANC (ou BLANC) Isaac
Peintre sur émail genevois. Décoration de tabatières et boîtes d'horloges. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LE BLANC Jean
Maître horloger genevois. Travaille entre 1745 et 1770.

LE BOEUF Henry
Horloger genevois, mentionné vers 1770.

LE BRUN Jean Battiste Laurent
Né en 1761. Horloger à Genève.

LE CERF - LECERF Georges
Horloger mécanicien genvois. Invente un compas de proportion pour les dents de roues en 1779. En 1778, il expose au Conseil "qu'il est parvenu à inventer divers outils d'horlogerie, pour établir une fabrique dans laquelle on opérerait géométriquement ce qu'on exécute qu'imparfaitement et à force de temps, par les moyens ordinaires... Cette manufacture... aurait pour objet la construction de mouvements, rouages et cadractures". Le Conseil consent à examiner la requête de Lecerf. Mais il n'y est donné aucune suite, l'inventeur ayant retiré de lui-même sa demande. Ce n'est qu'après 1792, en pleine époque révolutionnaire, qu'on réalisera partiellement la fabrication des ébauches par des procédés mécaniques.

LE COMTE J. M.
Seconde moitié du XIXe siècle. Montres pour le marché anglais, américain et indien. Construit de 1847 à 1851 des montres pour E. J. Dent, Londres (Angleterre). Signe un mouvement à échappement à ancre latérale à col-de-cygne. Mentionné à Genève en 1850.

LE CONSTANCON Jean
Maître horloger genevois. Forme Jean Pillios de 1567 à 1576.

LE DOUBLE François
Fils de Jaques. Maître horloger. Vers 1700 à Genève.

LE DUC
Tours-en-Touraine (France). Horloger. Reçoit la bourgeoisie genevoise en 1579.

LE DUC-101
Doreur. Travaille pour Droz & Leschot. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LE GRAND ROI Jean Louis
(Genève 1757-1809). Horloger fabricant.

LE GRAND ROY & FILS
Vers 1900 à Genève. Montres en tous genres de très belle qualité.

LE GRAND ROY Ete
Maître orfèvre genevois. Forme Paul Rival en 1671.

LE GRAND ROY Jean
Maître orfèvre genevois. Milieu du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme François Cottonet, en 1680.

LE GRAND ROY Nicolas
Maître horloger genevois. Forme Jean Bénédict de Rabours en 1730.

LE MAYRE (LE MAYTRE) Estienne
Maître horloger. Réfugié à Genève en 1572, venant de Paris.

LE MAYRE Bastienne
Horlogère. Réfugiée à Genève en 1572, venant de Paris.

LE ROLLAND
Marque genevoise enregistrée en 1894, par l'ancienne fabrique Vacheron-Constantin S.A., Genève. Articles d'horlogerie, cadrans et mouvements.

LE ROUX Nicolas-ALexis
Originaire de Franche Comté. Apprenti depuis 1786 de Charles-Frédéric Colomb, pendulier à La Chaux-de-Fonds.

LE ROY J. B.
Horloger genevois. Signe une montre fantaisie en forme de sac, en or, émail et perles. Vers 1810.

LE ROY Pierre
(1717 -1785) Inventeur d'un système d'échappement à détente. Auteur de la fameuse règle d'isochronisme, dite de "Pierre Le Roy".

LE ROY Pierre-100
Horloger. Réfugié d'Anvers. Reçu habitant de Genève le 11 octobre 1586.

LE SIMON Jn.
Maître orfèvre, en 1637.

LEARAND F.
Horloger genevois. Signature trouvée sur une montre-savonnette en or, astronomique, à triple date et phases de lune. Vers 1880.

LEBET Fréféric
Pendulier à Buttes en 1837. Un mouvement signé.

LEBET Horloger
1835-1860 environ. Montre de calibre Bagnolet extra-plates pour hommes et pour femmes. Boîtes gravées en taille-douce, souvent décorées de scènes romantiques ou de style néogothique.

LEBET-JACCARD J.
Horloger. Mentionné à Genève en 1907.

LEBEUF Jean-Henry
Maître horloger à Genève. Juré en 1747.

LEBEUF Pierre
Fabricant horloger genevois. Vers 1760.

LECHAIRE (LECHERE) François
Né à Genève. Fils de Jean, natif de Genève. Maître horloger. Reçu habitant de Genève en 1758.

LECHAUD Antoine
(Genève 1812-1875). Horloger. Travaille avec son frère Jean et avec Leschot dans la construction de montres à échappement à ancre de type semi-circulaire dès 1835. Tient un rôle prépondérant dans la construction d'échappements pour montres de précision dès 1845. Mentionné à Genève en 1860.

LECHAUD Conrad
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862.

LECHAUD Jean Jacques Thomas
Horloger. Genève. Début du XIXe siècle.

LECHAUD Jean-Th.
(Genève 1815-1884). Horloger. Spécialisé dans les échappements à ancre. En 1830, met au point un échappement à ancre "muni de plan de repos" (tirage) à points calculés pour assurer la stabilité pendant l'oscillation libre du balancier. Travaille avec son frère Antoine et avec Leschot pour la construction de montres à échappement à ancre de type semicirculaire. Mentionné à Genève en 1866.

LECHAUD John
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LECHAUX
Horloger genevois. Travaille avec Droz & Leschot. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Spécialisé en montres à musique.

LECHERE François
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LECHET André
Né à Genève. Fils de Jean-Pierre. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1789.

LECHET Ch.-Ed.
Fils de Gédéon. Apprenti horloger chez Pierre Faizan en 1790.

LECHET Gabriel
Fils de Samuel. Originaire de Céligny, environs de Genève. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1753.

LECHET ou LECHEX Gabriel
Maître monteur de boîtes en 1692 à Genève.

LECLERC & BUISSON (Mlles)
Peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1915 et en 1924.

LECLERC David
Apprenti orfèvre chez Abraham Gardelle en 1658 à Genève.

LECLERC François
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LECLERC Louis
Originaire de Neuchâtel (Suisse). Horloger privilégié. Reçu habitant de Genève en 1739.

LECLERC Marthe
Peintre sur émail. Deuxième tiers du XXe siècle à Genève.

LECOMTE
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844.

LECOMTE Antoine
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

LECOMTE Jules
Horloger. Mentionné à Genève en 1861.

LECOMTE-99
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1800.

LECOMTE-HAAS
Etablisseurs d'horlogerie Mentionné à Genève en 1870.

LECOQ David
Maître horloger à Genève. Milieu du XVIIe siècle. Forme Jaques Rittel en 1662.

LECOULTRE
Pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835 et en 1844.

LECOULTRE & Cie SA
Fabricants d'ébauches. Mentionné à Genève vers 1909.

LECOULTRE & Fils
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857.

LECOULTRE Albert
Commerce de montres. "A. Lecoultre" et "Lecoultre-Mathey", marques enregistrées en 1917 à Genève.

LECOULTRE Ami
Le Brassus et Genève. Montres compliquées très soignées, quantième perpétuel, secondes indépendantes; système spécial de diablotine à un train d'engrenage inventé et breveté en avril 1887, brevète également un réglage micrométrique de la raquette en 1888. Utilise souvent un échappement en or à ancre calibrée en ligne droite.

LECOULTRE Antoine
(Genève 1803-1888). Le Sentier et Genève. Horloger. Fonde, en 1833, la Maison Lecoultre puis: Jaeger Lecoultre.

LECOULTRE François
Horloger mécanicien. Première moitié du XIXe siècle. Mentionné à Genève en 1828 et de 1835 à 1840-1844. Substitue les lames simples de la boîte à musique avec un groupe de 2 ou 3, en 1814. Ce procédé se généralise à partir de 1818. Travaille avec son frère Henri pour la construction de montres et boîtes à musique. Fabrique des montres, des tabatières à musique. Souvent, son nom est poinçonné sur le peigne.

LECOULTRE Gustave
Début du XXe siècle. Fabrique et commerce. Montres de très bonne qualité. "White Lily" Marque genevoise enregistrée en 1917.

LECOULTRE Gustave et LECOULTRE E.-F.
Horlogers. Mentionné à Genève en 1874.

LECOULTRE Henri
Horloger mécanicien. Première moitié du XIXe siècle. Travaille avec son frère François.

LECOULTRE Jacques
Horloger et régleur. Reçoit en 1897 une mention simple au Concours de réglage.

LECOULTRE L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LECOULTRE L.-François
Né au Brassus. Professeur à l'Ecole d'Horlogerie de Genève. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Crée un chronographe à compteur instantané et perfectionne des systèmes pour les calendriers perpétuels, qui ne nuisent nullement à la marche de la montre. Mentionné à Genève en 1862.

LECOULTRE Louis (L.)
Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.

LECOULTRE Marins
Horloger et marchand. Petites montres-pendentifs avec décoration Art Nouveau.

LECOULTRE Marius
Horloger rhabilleur, marchand. Maison de premier ordre, fondée en 1848. Montres compliquées de qualité supérieure. Perfectionne un système de chronographe à déplacement vertical de la roue d'engagement. Reçoit une mention honorable au concours de chronométrie de Genève en 1887. Présente à l'Exposition universelle de Chicago en 1893, des montres compliquées et des montres de précision. Présent à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Mentionné à Genève en 1924.

LECOULTRE MARIUS, AMAND CHALOPIN SR.
Marque genevoise enregistrée en 1914.

LECOULTRE SOLDANO Eugène
Seconde moitié du XIXe siècle. Fabricant et régleur. Montres à grandes complications, très soignées. Perfectionne un calendrier perpétuel rétrograde. Obtient le premier prix de chronométrie de l'Observatoire de Genève, pour un chronomètre à échappement à ancre, spiral Breguet, réglé par lui-même, en 1880. Mentionné à Genève en 1857 et en 1874.

LECOULTRE, BORGEAUD & Cie.
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1861 et en 1874.

LECOULTRE-96
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1830.

LECOULTRE-97
Fabricant d'horlogerie et de pièces à musique. Mentionné à Genève en 1828-1835.

LECOULTRE-98
Maître orfèvre genevois vers 1625.

LECOULTRE-CELLIER Eug.
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862.

LECOULTRE-MATHEY
Marque genevoise enregistrée.

LECOULTRE-SCHWARTZ
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862.

LECOUSTANÇOIS Jehan
Horloger genevois. Vers 1568.

LEDAMOISEL (DAMOYSEL) Humbert
Apprenti maître horloger et marchand chez son frère Pierre, en 1630. Vend en Italie des montres fabriquées à Genève.

LEDAMOISELLE (LEDAMOISEL ou LE DAMOYSEL) Pierre
Maître horloger et orfèvre. Milieu du XVIIe siècle. Construit des boîtes pour montres. Forme Jean Duplex et son frère Humbert en 1630 ainsi que Jean Tagan; François Gandoz et Jacob Leffel de Bosle en 1642.

LEDAMOISELLE Aymé
Fils d'Urbain. Apprenti horloger chez Antoine Arlaud en 1634 à Genève.

LEDMOTE John C.
Horloger et marchand. Vers le milieu du XIXe siècle. Montres en tous genres, parmi lesquelles des chronomètres.

LEDOUBLE Abraham
Fils de Pierre. Apprenti orfèvre chez Pierre Motel en 1670 à Genève.

LEDOUBLE David
Apprenti orfèvre chez David Boucher, en 1635. Maître en 1645. Construit des boîtes de montres à Genève.

LEDOUBLE Pierre
Fils de Pierre. Apprenti orfèvre chez Isaac Berland en 1675 à Genève.

LEDOUBLE Pierre-95
Apprenti horloger chez Michel Madiot en 1638 à Genève.

LEFEBRE (LEFETRE) Jean
Fils de Jacques. Originaire de Champagne (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1752.

LEFEBVRE Etienne
Fils de Jacques. Originaire de Champagne (France). Orfèvre, bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1757.

LEFEVRE Jacques
Fils de Pierre. Originaire de Commugny, bailliage de Gessenay (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1757.

LEFEVRE Jean
Meaux, Brie (France). "Faiseur" de boîtes et d'étuis. Reçu habitant de Genève en 1711.

LEFFEL Jacob de Bosle
Apprenti orfèvre chez Pierre Ledamoiselle en 1642 à Genève.

LEFREUX Esaye
Maître orfèvre genevois. Fin du XVIe, début du XVIIe siècle. Boîtes de montres.

LEGARE François
Orfèvre genevois. Forme Jean I André. Vers 1665. Associé à Pierre Royaume.

LEGARE Laurent
Maître et marchand orfèvre genevois. Forme Jacques Gandoz et Pierre I Huaud de 1632 à 1642.

LÉGER Fils
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835 et en 1844.

LEGÉRET P.-A.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LÉGITIME
Marque genevoise enregistrée.

LEGRAND Didier
Apprenti orfèvre chez Jean Balexert en 1639 à Genève.

LEGRAND E.
Fabricant d'articles d'horlogerie. Marque genevoise enregistrée en 1902. Mentionné à Genève en 1862.

LEGRAND G.
Genève et Paris. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres en tous genres, de bonne qualité.

LEGRAND Robert
Apprenti horloger chez Jaques Sermand l'oncle, en 1623 à Genève. Maître "faiseur" de chaînettes. Forme Théodore jaquemot en 1641. Part pour Constantinople (Turquie) en 1652 et s'associe avec Jaques Taccon. Trois compagnons se joignent à eux: Simon Martine, Isaac Gandoz et Henry Taccon neveu. Acquiert 42 montres "à la turque" de son beau-père Antoine Arlaud.

LEGRAND Simon
Maître horloger. Travaille également à Paris. Milieu et seconde moitié du XVIIe siècle.

LEGRAND-ROY Henri
Peintre sur émail. et professeur à l'école des Arts Industriels. Mentionné à Genève en 1889 et en 1915.

LEGRANDROY Ch.-Henri
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.

LEGRANDROY J.-L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

LEGRANROY J.-W. & FILS
Successeurs de Moulinié. Horlogers vers 1864. Mentionné à Genève en 1866.

LEIER
Horloger. Première moitié du XIXe siècle à Genève. Montres de forme, avec émail, perles et pierres.

LELIÈVRE
Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1870.

LELLIER (CELLIER) FRERES & MESTRAL
Horlogers. Début du XIXe siècle. Montres à répétition et à automates.

LEMAIRE Nicolas Constant
Né en 1757 à Orchis (France). Apprenti horloger à Paris, en 1772. Travaille à la manufacture royale de Ferney, Ain (France) puis chez jaquetDroz. S'installe à Paris et dès 1792, à la Manufacture de Besançon, Doubs (France).

LEMAITRE Paul
Fils de Jacques. Londres (Angleterre). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1761.

LEMAN
Marque genevoise enregistrée.

LEMAN Gaspard
Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LEMANIA GENEVE
Marque genevoise enregistrée. Vers 1991, fabriquent une série de montres-bracelets squelette avec chronographe, compteurs, date et phases de lune.

LEMBELLET Moyse
Maître horloger à Genève. Vers le milieu du XVIIIe siècle. Exécute une commande de montres en 1758 pour Louis .le, marchand.

LEMELAIS (LE MELAIS) Eléazar
Maître horloger parisien. Reçu habitant de Genève en 1585.

LEMOINE Marc
Horloger genevois. Milieu du XIXe siècle.

LENHA Jean
Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LENOIR & DUFFEY (DUFFEX)
Etablisseurs d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.

LENOIR Gilbert
Fils de Jean. Originaire du Bourbonnais (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1771.

LENOIR J. J.
Horloger genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres avec calendrier, secondes au centre, cadrans décorés d'émail peint.

LENOIR Jean
Fils de Philippe. Apprenti horloger chez Théodore Melly en 1768 à Genève.

LENOIR Jérôme
Fils de Paul ou Jérôme. Morges (Suisse). Orfèvre en grosserie, argentier. Reçu habitant de Genève en 1720.

LENOIR Philippe
Maître lapidaire en 1768 à Genève.

LEPESCHELY (LEPESCHETY) & DECOURS
Etablisseurs d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830-1835.

LEPINE Jean-Antoine
(Challex 1720-1814). Apprenti chez Pierre-Ambroise Decrose (fabricant d'horlogerie au Grand Saconnex, environs de Genève). Part pour Paris à 24 ans en 1744 et devient célèbre par ses idées innovatrices, son génie et la qualité de ses montres et pendules. Associé à André-Charle Caron horloger du Roi, il épouse sa fille Madeleine Françoise en 1756. Devient Maître en 1760. En 1754, exécute avec le Sr. Perrier, maître horloger de Gex, une montre bague pour la Marquise de Pompadour. Devient horloger du Roi en 1765. Installe un atelier à Ferney dont il confie la direction à joseph-Marie Tardy, puis ouvre un comptoir à Paris. On lui doit un système révolutionnaire: la simplification de la construction de la montre du système classique à cage, à celui à ponts dans lequel la fusée est supprimée, ce qui permet de réduire l'épaisseur des montres: elle fut désormais plus plate et ses qualités réglantes s'améliorèrent grandement. Les montres "Lépine" apparurent à Genève vers 1789 seulement. Invente une nouvelle cadrature pour la répétition ainsi que l'échappement à virgule. Maître en 1762. Il est pendant 5 ans le commissionnaire de la manufacture de Ferney. Une de ses montres à répétition et quantième fut présentée à Louis XVI. En 1781, il vendait ses montres extraplates 840 livres. Il fournit 20 pendules à Louis XVI, à Madame Elisabeth, à la Cour d'Espagne. Parmi celles-ci la pendule à tête de négresse qui appartient maintenant à la Cour d'Angleterre. Il fit des montres se remontant à l'aide d'un poussoir. Il publia en 1763 "Nouvelle quadrature de répétition de montre".

LEPSCHELY & DECOUR
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831.

LEPSCHLY Louis
Fils de Charles. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève avec ses deux fils mineurs: François-Louis et Jean-Jacques, en 1784.

LEQUIN
Horloger. Genève 1730-1750.

LEQUIN Elisabeth
Faiseuse de chaînettes. Seconde moitié du XVIIIe siècle à Genève.

LERESCHE J.
Horloger. Mentionné à Genève vers 1907.

LEROYER Louis
Horloger genevois. Vers 1815.

LEROYER Philippe
Maître orfèvre genevois. Première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres.

LESAGE Barthélémy
Fils de Philibert. Apprenti horloger chez Luc Morin-Marchinville en 1679 à Genève.

LESAGE Samuel
Apprenti horloger chez Nicolas Gardelle en 1700.

LESCHAUD fils -P
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LESCHAUD J.-F.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LESCHAUD M.-F.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LESCHOT Frédéric
Fils de Pierre, époux d'Ésabeau Dubois-dit-Bon-Claude, puis de Françoise-Jacqueline Liommin, père de Tile et de Jean-Frédéric. Pendulier à La Chaux-de-Fonds.

LESCHOT Georges Auguste
(Genève 1800-1884). Horloger et mécanicien. Perfectionne l'échappement à ancre par l'introduction du "tirage" et donne ainsi une nouvelle impulsion à la fabrication, en 1825. Invente et crée, en 1839, pour la Maison Vacheron & Constantin une série de machines-outils très perfectionnées, destinées à la fabrication de montres, entre autres le panthographe (machine à pointer). Signe une pétition pour la construction d'un nouvel observatoire en 1829. S'associe avec A. Malignon à Genève en 1835. Reçoit une médaille d'or de la Société des Arts, en 1876, pour l'invention du procédé de perforation des roches dures au moyen de tarières à couronne garnie de diamants noirs, perfectionné par Colladon et utilisé entre autres pour le percement du tunnel du Gothard (Suisse). Créateur de la fabrique de Cluses dans la vallée de l'Arve (France Mentionné à Genève en 1860. "Il modifia profondément, dit M. Rambas, les bases mêmes de la fabrication horlogère à Genève".

LESCHOT Jean Frédéric
(Genève 1746-1824 ou 1827). Fils adoptif de Pierre Jaquet-Droz. Apprenti horloger chez son père adoptif S'associe avec Jaquet-Droz sous la raison sociale Jaquet-Droz père et fila, en 1782.

LESCHOT Louis
Fabricant de ressorts de montres et de pendules à Fleurier. Cité de 1844 à 1855 dans divers comptes de penduliers.

LESCHOT Pierre-Frédéric
Fondeur d'ornements en cuivre pour pendules à La Chaux-de-Fonds. Donne en 1771 Lettre d'apprentissage à Jean-George Humbert.

LESCHOT Tirs
Fils de Frédéric. Reçoit en 1781 Lettre d'apprentissage de Jean-Frédéric DUCOMMUN pendulier à La Chaux-de-Fonds. Travaille de 1781 à 1785 pour Josué Robert et fils.

LESCHOT Tito
Horloger et orfèvre genevois. Construit des cabinets pour pendules, pour Droz & Leschot. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LESQUIN ou LEQUIN
Maître horloger. 1730-1750. En 1750, il retourne dans son pays d'origine, Fleurier, pour y travailler comme horloger. Le Conseil genevois, intransigeant, laisse à Lequin le choix ou de rentrer immédiatement dans la ville, ou d'être déchu de tous ses droits de natifs.

LEUBA Jacques-François
Fils de Jonas. Originaire de Corsier-sur-Vevey, bailliage de Lausanne (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1777.

LEUBÉ, PREMET & Cie.
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1909.

LEVANT L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LEVEILLE François
Fils de Jean. Sancerre, Berry (France). Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1768.

LEVEQUE
Emailleur genevois. Fournit à la Maison Jaquet-Droz des boîtes émaillées et coffrets pour des oiseaux chanteurs, de 1783 à 1785.

LEVRAT Daniel
Fils de Pierre. Apprenti orfèvre chez Jean Planchant en 1637 à Genève.

LÉVRIER & Fils
Monteurs de boîtes. Mentionné à Genève en 1828.

LÉVRIER Jeanne
Et. "Faiseuse" de chaînettes. Seconde moitié du XVIIIe siècle à Genève.

LÉVY Henri
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LÉVY L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LEWISS Henry & Co
Marchands, fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres compliquées destinées au marché anglophone. On trouve leur signature sur une montre à double face, avec 11 cadrans, à fuseaux horaires, calendrier et phases de lune. A Genève.

LHARDY (LARDY) François
Fabricant horloger et marchand à Genève. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres à automates, à répétition, montres squelette.

LIANA Antoine
Maître horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

LIANNA Augustin
Fils de Jean. Compagnon horloger, en 1698 à Genève.

LIEBAUT (LIEBEAU) Charles
Fils de Claude. Dijon (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1737.

LIECHTY J.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LIEGE David
Maître horloger. Forme Jean Rival (Rivaz) et Louis Rival en 1698.

LIENNE
Monteur de boites. Mentionné à Genève en 1828.

LIENNE-94
Monteur de boites. Mentionné à Genève en 1828.

LIEVRE François
Horloger genevois. Vers 1602.

LIGIER
Horloger, bijoutier genevois. Montres fantaisie. Présent à l'Exposition de Genève en 1828.

LIGIER Jean-Louis
Fils de Claude-François. Horloger. Besançon (France). Reçu habitant de Genève en 1777.

LILO
Marque genevoise enregistrée.

LIMBURGER A.
Montres pendentif à clé et à remontoir au pendant pour le marché américain. Vers 1850.

LINCK Jean Conrad
Fils de Gaspard. Erlangen. Peintre sur émail. Père de Jean-Antoine, fameux peintre paysagiste et de Jean-Philippe. Forme Jean Théodore Perrache. Reçu habitant de Genève en 1763.

LINCK Jean-Antoine
(Genève 1766-1843). Peintre sur émail, graveur, dessinateur et fameux paysagiste. Apprenti avec son frère Jean-Philippe. Participe à la première exposition genevoise organisée par la Société des Arts en 1789. Il y présente deux gouaches: "La Cascade Pissevache" et "Le riant d'Arpenar".

LINCK Jean-Philippe
Apprenti peintre sur émail et graveur, devient ensuite peintre paysagiste à Genève.

LIODET
Fabricant d'horlogerie genevois. 1790-1800.

LIODET & Cie.
Montres de forme, en or, émail et pierres. Début du XIXe siècle à Genève.

LIODET André
Fabricant d'horlogerie et de pièces à musique. Mentionné à Genève en 1828 et de 1835-1840.

LIODET J.-Louis
Fabricant et marchand d'horlogerie. Signe une montre lorgnette en or et émail représentant une scène de harem. Vers 1850. Mentionné à Genève en 1857.

LIODET P.
Horloger, pièces à musique Mentionné à Genève en 1828.

LIODET-93
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830-1835.

LIOMIN
Horloger Montres-pendentifs en or et émail. Vers 1860.

LIOMIN Alcide
Horloger. Mentionné à Genève en 1862.

LIOMIN Louis
Horloger. Mentionné à Genève en 1862.

LIOMIN.
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

LIOTARD Jean Etienne
(Genève 1702-1789). Fils d'Antoine. Bijoutier à Montélimar, (France). Apprenti orfèvre et émailleur chez Daniel Gardelle en 1723, puis chez Jean Baptiste Massé à Paris la même année. Visite l'Italie en 1736, en compagnie du marquis de Puysieux, puis la Turquie avec Sir William Ponsorby. Peint le Prince Charles Edouard Stuart à Rome en 1736 et l'impératrice Marie-Thérèse et sa famille à Vienne en 1743, puis vit à Venise, Darmstadt (Allemagne), Paris (France) et Londres (Angleterre). Travaille pour Droz & Leschot.

LIOTARD Jean-François-Nicolas
Fils de François. Lausanne (Suisse). Joaillier. Reçu habitant de Genève en 1778.

LIPPETZ & [.
Fabricants de montres et d'articles de montres. « Audemars Frères » Marque genevoise enregistrée en 1913.

LISSIGNOL & HENRI
Peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1828.

LISSIGNOL Jean Abraham
(1749-1819). Peintre sur émail très réputé. Apprenti chez Jean Marc Roux, puis s'associe avec lui en 1767 ainsi qu'avec joseph Cabanal. Décore des tabatières et des boites de montres. Travaille pour Droz & Leschot, Les Rochat et John Rich.

LIVACHE Antoine
Fils de Jean. Originaire du Dauphiné (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1761.

LIVET Ch.
Horloger. Mentionné à Genève en 1861.

LIXON Jean.
Apprenti horloger chez Marc Reguillon en 1642 à Genève.

LIXSON (LISSON) Thomas
Maître horloger. Forme Jean Guidonnet en 1649 et Etienne Oltramare en 1654 à Genève.

LMG
Marque genevoise enregistrée.

LÔB Léopold
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857 et en 1870.

LOB Louis
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LODERAN (LODEREAU) Espafras
Maître horloger. Réfugié à Genève venant de Nerac (France), en 1644.

LOGOS
Marque genevoise enregistrée.

LOMBARD
Fait de 1781 à 1804 des mouvements de pièces de carrosse pour J. Robert et fils à La Chaux-de-Fonds.

LOMBARD François
Maître horloger en 1668.

LOMBARD Jaques
Apprenti horloger, en 1684.

LOMBARDET Jean-Samuel
Né à Genève en 1767. Fils de Jean-D., chapelier à Orbe (Suisse). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1792.

LONEX Pierre
Maître orfèvre à Genvève. Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Boîtes de montres.

LONGCHAMP Ant. J.
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

LONGCHAMP Antoine
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1840 et en 1844.

LONGCHAMP Charles
Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. Fabricant d'horlogerie. Montres-pendentifs en or et émail pour l'Espagne.

LONGCHAMP Elie & FRERES
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831-1840.

LONGCHAMP J.-E.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LONGCHAMP L.
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en. 1828-1835.

LONGCHAMP L. & FILS.
Fabricant de montres. Vers le milieu du XIXe siècle. Mentionné à Genève en 1844.

LONGCHAMP L.-E.
Horloger, Mentionné à Genève en 1874.

LONGCHAMP MEYLAN E.
Horlogers. Mentionné à Genève en 1860.

LONGIN Mathieu
Horloger genevois. Vers 1680.

LORENZ-ROCHAT
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

LORIMIER François-Louis
Fils de Jean-Jacques. En 1782-83, ouvrier chez Samuel Roy à Fontaines, puis chez Jeara-David Maillardet à Genève, puis en France, depuis 1786.

LORIMIER François-Louis-92
Maître horloger, en 1780 à Genève. Montres à automates, à répétition. Boîtes en or et émail.

LORIMIER Jaques
Horloger. Genève et Paris. 1782-1810.

LORIMIER, LES FRERES (David-François et Jean-Jacques)
à Fontaines, puis à Paris. Achètent en 1805 6 automates aux Mailardet.

LOSSIER
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

LOSSIER A. Fils
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève vers 1907.

LOSSIER Etienne
Né en 1740. Horloger genevois.

LOSSIER FRÈRES
Monteurs de boîtes. Mentionné à Genève en 1828.

LOSSIER H.
Régleur et finisseur. (Genève 1890-1940). Chronomètre de grande précision. Travaille pour Sandoz W.F., et pour U. Montandon-Robert. Reçoit la mention honorable au concours de réglage de chronomètres de l'année 1896 pour des chronomètres de serie et le ler prix pour des pièces isolées.

LOSSIER J.
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.

LOSSIER Louis
Fils de Jaques. Apprenti horloger chez Pierre Thomeguex en 1706 à Genève.

LOSSIER LOUP ou LOSSIER-LOUP
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1830.

LOSSIER Luis
Directeur de l'Ecole d'Horlogerie de Genève. Publie, en 1890, un rapport simplifié de Phillips sur l'étude du réglage du spiral: "Etude sur la théorie du réglage des montres", d'après un travail du même genre de J. Grossmann, au Locle (Suisse).

LOSSIER P.
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.

LOSSIER Pierre
Fils d'André. Apprenti horloger chez Bernard Dominicé en 1685 à Genève.

LOSSIER(ERE) Edouard
Peintre sur émail genevois. Seconde moitié du XIXe, début du XXe siècle. Travaille entre autres pour Patek Philippe. Spécialisé en paysages et portraits destinés au marché de l'Orient.

LOUDE Jean-François
Fabricant d'horlogerie à Genève. Vers 1800.

LOUIS George
Maître horloger à Genève. Prend pour compagnon Huguin Duverney en 1636.

LOUP
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.

LOUP-DUPONT
Monteurs de boîtes. Mentionné à Genève en 1844.

LOURDE François
Seconde moitié du XVIIIe siècle. Maître monteur de boîtes.

LOURDE Pierre
Carla-Bayle, comté de Foix (France). Horloger privilégié. Reçu habitant de Genève en 1751.

LOURDEREAU Epaphras
Maître horloger. Milieu du XVIIe siècle. Forme Louis Granger (Grange, Grangier) en 1656 à Genève.

LOURTEAU Pierre
Maître horloger. S'établit dans la région de Lyon (France). Première moitié du XIXe siècle.

LOUVRE
Marque genevoise enregistrée.

LTVEQUE Henri
(Genève 1769-Rome 1832). Peintre sur émail et graveur. s'associe avec ses deux frères Jean-Michel et Jean, créent un atelier d'émaillerie et ont notamment pour élève Abraham Constan. Invente un four portatif qui lui permet d'exécuter des portraits en cours de route. Travaille pour Piguet, Meylan et Capt. On le trouve en Espagne, au Portugal, en Angleterre et en Italie.

LUC (dit LUGAZ) Jean
Emailleur. Mentionné à Genève en 1866.

LUCA Samuel
Fils de Philippe. Apprenti lapidaire chez I. Chavannes en 1669.

LUGEON Louis-David
Fils de Pierre. Maître horloger en blancs. Reçu habitant de Genève, avec ses fils mineurs Pierre jos et Paul François, en 1790.

LUGRIN A.
Fabricant. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres simples et compliquées en tous genres.

LUGRIN Adolphe
Fabricant et marchand. Mentionné à Genève en 1835.

LUGRIN Frédéric
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

LUGRIN S.-F
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

LUKASCHOVSKY
Nombre d'aveugles utilisent des montres savonnettes dont le verre est enlevé et calculent l'heure d'après la position des aiguilles, en promenant le bout de leurs doigts sur le cadran. Pour quelques-uns, l'indication fournie par le toucher, très délicat, est suffisante, et ils arrivent à connaître l'heure avec une approximation relativement faible; mais, pour la majorité, le calcul est difficile, sans compter que les aiguilles ainsi manipulées, et malgré la délicatesse du tact, peuvent se déformer sinon se briser, en tout cas dévier dans un sens ou dans l'autre, multipliant ainsi les chances d'erreur. Un Autrichien, de Vienne, a imaginé de remplacer les chiffres romains du cadran par une suite de signes conventionnels dont la forme rappelle d'une façon allégorique le chiffre de l'heure qu'ils représentent. Le système de Lukaschovsky (c'est le nom de l'inventeur) consiste à représenter une heure par un point, deux heures par deux points, trois heures par un triangle, quatre heures par un carré, cinq heures par une étoile à cinq rayons, six heures par un zéro. Dans la première moitié du cadran, ces signes sont en relief; dans la seconde ils se reproduisent symétriquement mais en creux. Quant aux aiguilles, elles sont en acier et assez robustes pour résister à de fréquents contacts des doigts. Un autre système, dû à un horloger du Locle (Suisse), P. Tissot, présente sur le précédent cet avantage d'employer les caractères Braille, déjà connus des aveugles. Le cadran porte, en outre, les divisions des minutes, qui sont indiquées par des points saillants plus petits.

LULLIER (LUILLIER) Jean-Philippe
Fils d'Isaac. Mâcon, Bourgogne (France). Marchand orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1692.

LULLIER Isaac
Originaire de Mâcon, Bourgogne (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1695.

LULLIER Jean
Apprenti horloger chez Martin Duboule en 1619.

LULLIN David
Apprenti orfèvre chez Jean Dechevrant en 1630.

LULLIN Jaques
Maître horloger, en 1663. Forme Pierre Girard, dit "Guerre" en 1679.

LULLIN Paul
Maître horloger très réputé. Premier tiers du XVIIIe siècle. Montres simples, plutôt plates, de style anglais, et montres oignon de style français, à faux pendule ou coq émaillé.

LULLIN Pierre
Maître orfèvre. Apprenti chez David Madiot en 1620. Boîtes de montres.

LULLYER Nicolas
Orfèvre. Vers 1550 à Genève.

LUNOD H.
Maître horloger genevois. 1790.

LUOR
Marque genevoise enregistrée.

LUTHI P. H.
Emailleur. Mentionné à Genève en 1907.

LUTZ Eugène
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

LUTZ Jean-Celanis
(Genève 1800-1863). Imagine un nouveau procédé pour fabriquer les spiraux trempés, en 1847.

LUYA Antoine
Maître horloger genevois. S'associe avec George Achard, en 1796.

LUYA Edouard
Maître horloger. Vers 1770 à Genève.

LUZ
Marque genevoise enregistrée.

LYANNA Jacob
Maître joaillier genevois. Fin du XVIIe siècle.

LYANNA Jean-François
Horloger genevois. Vers 1700.

LYANNA Michel
Maître horloger genevois. Forme François II Melly en 1750.

LYANNA Pierre
Horloger genevois. Fils de Jean. Apprenti horloger chez Bernard Dominicé en 1689.